Aussitôt nommée par Faure Gnassingbé, Victoire Tomegah-Dogbe semble déjà prendre ses marques. Après avoir jeté, dans son discours programme, les bases de sa mandature qu’elle entend centrer sur le développement, la cheffe du Gouvernement envoie d’ores et déjà des signaux qui, à la fois, étonnent et inquiètent.
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La touche DOGBE
Gouverner autrement. Telle semble être la marque que Victoire Tomegah-Dogbé veut imprimer à sa mandature. Un mandat qu’elle place sous le sceau du développement. Un défi de taille qui a conduit la nouvelle Première ministre, au terme du récent séminaire gouvernemental, de faire prendre des engagements à chaque ministre. Des engagements qu’ils devront remplir, chacun, en conformité avec la feuille de route du Gouvernement.
« Nous devons nous mettre au travail, nous n’avons pas de temps à perdre », lancera t-elle ensuite à l’endroit des ministres. C’est dire donc que l’ancienne ministre de Développement à la base, par une nouvelle approche, entend se démarquer considérablement de ses prédécesseurs, surtout dans la conduite des politiques gouvernementales. Une politique quinquennale qui accorde une place de choix au développement, et moins de place à la politique.
Le bémol…
Bien que connue moins politique, avec une (…) Lire la suite de l’article sur une autre presse
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