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Togo, à peine nommé, Kouessan Yovodevi déjà interpelé

Pour tirer, peut-être, quelques bénéfices du communicant de la présidence que tu es devenu, cher ami Kouessan Yovodévi, il me paraît utile de relayer un message par ton biais. Parce que tu es un ami, naguère, un compagnon d’infortune, je serai simple et courtois, dans le but de donner des chances à ces mots d’atteindre leur cible. Parce que nous sommes liés, Joseph, je ne monterai pas sur mes grands chevaux, je ne ferai pas non plus la moue. La démarche nous concerne tous. Elle est vitale, opportune. Pour notre peuple.

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Tu peux servir, en ce sens qu’un communicant, au-delà du faiseur d’opinion, est un éminent influenceur. Tu ne feras pas de miracles. On le sait. Parce que tu es Joseph, pas Jésus. Mais au cas où tu ne serais pas en mesure de faire aboutir ce message-ci, d’influencer, il serait plus séant, Kouéssan, de renoncer au clan pour la terre fertile d’Anfoin. Elle ne trompe pas. Je suis convaincu, tu l’es aussi, qu’il y a des décisions vigoureuses à prendre si l’on veut que le compteur quitte zéro, enfin. Pour que ça avance, dans le sens de soulager les plus faibles après tant d’années de piétinement et de souffrances. L’objectif, c’est de faire entendre raison, à travers toi, l’ami Joseph, en faveur de notre société qui vit ensemble séparée, qui gémit, qui meurt. C’est un devoir!

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Par Kodjo Epou

Si les Togolais arrivent à s’entendre sur la mise en oeuvre de réformes puissantes et ciblées, notre nation peut se relancer rapidement car, elle est énergique et talentueuse. Rien ne pourra  (…) Lire la suite de l’article sur une autre presse

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